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Bonne nouvelle (19 septembre 2013)

Les médicaments moins chers ? Ça existe !

© En Marche
Le prix des médicaments pour les patients et leur coût pour la sécurité sociale n’ont jamais cessé de préoccuper la Mutualité chrétienne. Ces sujets ont alimenté et continuent d’alimenter nombre d’éditoriaux et d’articles dans En Marche.

Dès les premières éditions, la thématique des médicaments trouve une place centrale dans le journal. Dans un premier temps, il s’agit surtout d’attirer l’attention sur le coût élevé que représentent les spécialités pharmaceutiques dans les dépenses de l’assurance-maladie, par rapport aux préparations magistrales réalisées par le pharmacien. Ainsi, par exemple, le 15 novembre 1952, en titrant : « Nous sommes en pleine immoralité », le journal relaie une campagne orchestrée par la Mutualité chrétienne « contre les prix exorbitants de certaines spécialités pharmaceutiques et les substantiels profits de certains laboratoires ».

Sept ans plus tard, un arrêté ministériel impose enfin des règles aux fabricants quant à la fixation des prix des médicaments... En Marche relaie cette première victoire.

A chaque projet de réforme de l’assurance soins de santé obligatoire, le prix des médicaments est remis sur la table. Par les voix de ses éditorialistes et journalistes, En Marche les commente. Dans l’édition du 4 juillet 1963, à la veille de l’adoption de la Loi Leburton, il insiste notamment sur le fait que « le médicament ne constitue pas un article de commerce mais un élément indispensable à la santé publique » (4 juillet 1963).

Un pas de géant est franchi en 1986 et En Marche y fait largement écho : « Attendus depuis de nombreuses années et aussi bons et moins chers, les médicaments génériques font leur entrée en pharmacie le 1er février 1986 (...) Le produit fabriqué et protégé par un brevet tombe dans le domaine public au bout d’une vingtaine d’années, permettant à d’autres firmes de produire le même médicament ».

Dans les années 1990 et 2000, constatant que les génériques sont « mal connus ou mal aimés », En Marche publie régulièrement des articles pour attirer l’attention du public sur le fait que « de nombreux malades en arrivent à négliger leur traitement parce que les médicaments sont trop chers. Or, des médicaments moins chers, cela existe ! » (15 juin 1998). La problématique du coût reste d’une grande actualité. « Les médicaments pèsent lourd dans le portefeuille des patients, des malades chroniques et dans le budget de la sécurité sociale », dénonçait encore récemment Jean Hermesse, Secrétaire général de la MC dans son éditorial publié le 1er mars 2012.

//JOËLLE DELVAUX
ET FLORENCE LORIAUX, CARHOP

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