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Tourisme  ( 6 août 2009)

 

Des vacances à deux pas de chez vous

“Voyage, voyage…”. Tel était le titre principal du dernier numéro d’En Marche à l’entame des deux mois de congés scolaires. Nous l’écrivions toutefois dès les premières pages: il n’est pas indispensable de monter dans un long courrier ou d’avaler des kilomètres d’asphalte pour trouver détente, dépaysement et enrichissement culturel. Dans cette édition de la mi-vacances, votre bimensuel vous suggère une kyrielle d’activités qui font rarement la une des brochures touristiques, mais qui offrent cependant leur lot d’insolite et d’émerveillement. La plupart des destinations proposées ci-dessous se situent à l’intérieur de nos frontières nationales ou à un jet de pierre de celles-ci. Vu la saison estivale, nous avons privilégié les activités extérieures et à prix modique ou raisonnable. Avouons-le: notre critère principal fut celui du coup de cœur plus que la recherche d’une quelconque exhaustivité. Peut-être nos lecteurs pèlerins s’égareront-ils, au fil de leurs pas, jusqu’aux portes de ceux que nous avons oubliés, faisant ainsi de nouvelles découvertes.

Catherine Daloze, Joëlle Delvaux, Philippe Lamotte et Béatrice Petit

 

Portes ouvertes sur les jardins

A court d’inspiration pour l’aménagement de votre jardin? Alors, précipitez-vous vers les visites de jardins de particuliers. Les 22-23 août et 12-13 septembre, de simples amateurs de jardinage et de beaux parterres ouvrent les portes de leurs espaces verts personnels au grand public à Cheratte, Schaltin,

@ Catherine Gerimont

Grâce-Hollogne, Stoumont, Neupré et Esneux (Province de Liège). Cette initiative est le fruit de l’association «Jardins en pays de Liège», qui, pour un droit d’accès modique (3 euros), collecte des fonds pour une asbl qui prévoit l’accueil de courte durée d’enfants handicapés dont les parents ont besoin de souffler un peu: «Enfants d’un même père». Depuis 2002, ces portes ouvertes d’un genre un peu particulier, inspirées des traditions anglo-saxonnes et flamandes, ont drainé quelque 28.000 visiteurs dans une trentaine de jardins des plus variés. Certains d’entre eux, cet été, abriteront des boutiques de plantes, des objets d’artisanat et de la petite restauration.

@ Catherine Gerimont

Un brin différente mais très originale est l’initiative de Joëlle Spierkel qui, dans son jardin d’un hectare à Faulx-les-tombes (Province de Namur),  cultive patiemment 120 espèces végétales pour le plaisir des… sons. Eh oui, c’est fou ce qu’on peut réaliser comme vibrations, trémolos et murmures à partir d’un fruit, d’une fleur, d’une coque de marron ou d’une simple tige. Cette éveilleuse de sons, telle qu’elle se qualifie elle-même, est capable de souffler dans une cupule de gland de chêne et d’imiter le cri du faucon, de tresser un hochet en jonc ou de fabriquer un modificateur de voix à partir d’un cardère, la plante de prédilection des chardonnerets. Au gré des visites guidées (sur rendez-vous et via des groupes d’adultes préalablement constitués – non-voyants bienvenus), on y apprend tout sur les mythes, légendes et histoires vraies des instruments contemporains.

@ Catherine Gerimont

Enfin, les inconditionnels ne manqueront pas, à Bruxelles, les formations aux jardins naturels sans pesticides de l’association Natagora (9 août, 15 et 29 septembre). Quant aux non-voyants, Nature et Progrès leur assure des formations spécifiques au jardinage biologique, à Dave (Namur), à partir du 16 septembre.

Infos: www.jardinsenpaysdeliege.be ou 04/371.49.59; Pour Joëlle Spierkel: creeasbl@skynet.be ou 081/57.04.61; pour Natagora et Nature et Progrès: 02/245.55.00 ou natureaujardin@natagora.be et 081/32.30.58 ou ch.dubois@natpro.be

 

 

Balade dans un marais géant peu connu

@ Réserve Romelaère

Pas besoin de filer en Camargue ou dans le Poitou pour visiter l’un des plus beaux marais de France. A deux encablures d’Ypres (Flandre occidentale) et à un jet de pierre de Saint-Omer (dans le Nord-Pas-de-Calais) s’étendent 1.200 hectares de terrains criblés de tourbe et de voies d’eau navigables. Quoi! Visiter une zone humide infestée de moustiques ? Vous n’y êtes pas. Le Marais audomarois est l’un des derniers grands marais français encore exploités commercialement. Il est le paradis du maraîchage: choux, endives, radis et carottes y sont cultivés sur des parcelles sillonnées par 650 kilomètres de voies d’eau charmantes et pittoresques, accessibles par des barques, canoës et petits bateaux électriques destinés aux touristes. Des balades à pied et visites guidées sont également prévues, parfois couplées avec la découverte de la faune (200 espèces d’oiseaux), de la flore, de la gastronomie, etc. Avec un peu de chance, en flânant dans ces «watergangs» creusés par les moines il y a plus de mille ans, on peut accoster sur le quai d’un maraîcher qui, sous une arcade de saules têtards, se défait à bon compte de ses stocks du jour. A voir, aussi, dans cette zone enfoncée 40 centimètres sous le niveau de la mer: les «bacôves» et «escutes», barques traditionnelles des cultivateurs du coin. La tournée matinale du facteur s’étale sur 12 kilomètres. En barque...

Infos: www.isnor.fr ou 00 33 (0)3/21.39.15.15.

 

Les castors ont la palme

@ Wild life Pictures

Qui aurait cru, il y a dix ans à peine, qu’il serait possible d’observer des castors bien vivants dans les rivières wallonnes? C’est aujourd’hui, pourtant, la réalité. Longtemps traqué et surtout chassé par les aménagements «durs» des cours d’eau, ce mammifère herbivore, qui a donné son nom à quantité de localités et de lieux-dits de nos campagnes, a fait son grand retour à la suite d’une réintroduction qui a fait couler beaucoup d’encre. Il faut dire que ce bâtisseur de huttes impressionnantes, connu pour son obstination à construire des barrages, est capable de créer des inondations locales très peu appréciées par les riverains. A mettre en balance, évidemment, avec le retour d’une grande variété d’espèces végétales et animales qui apprécient les – trop rares – zones humides recrées par l’animal. Des Hautes Fagnes à Gedinne, en passant par Durbuy ou la Basse Meuse, des excursions d’observation, voire des week-ends entiers, sont aujourd’hui organisés pour les petits et grands, parfois couplés avec une descente de rivière en canoë ou des découvertes de la gastronomie locale. Emotions garanties lorsque le museau sort de l’eau après une longue apnée!

Infos: www.paysdescastors.be , www.bureaudesguides.eu ou 0498/04.30.68

 

Le Sortilège de Robin Dubois

Un grand jeu d’aventure familial en pleine nature: c’est ce que propose Sortilège, jusqu’au 27 septembre, au cœur du Val du Bois des Béguines, à Neder-Over-Hembeek (Bruxelles). L’univers fantastique de ce grand jeu de rôles emmène petits et grands sur les traces de “Robin Dubois”, le voleur le plus drôle de la forêt de Nottingham, sorti tout droit de la BD de Turk et Degroot. Au départ, chaque équipe choisit une histoire et donc un parcours à suivre. Munis d’une carte, les aventuriers passent de lieux en lieux et rencontrent différents

@ Sortilège

personnages qui révèleront le chemin à emprunter et les aideront à solutionner l’énigme. Certains sont des amis, d’autres des ennemis qu’il faudra vaincre en réussissant diverses épreuves : une plongée dans l’univers rocambolesque de Robin avec de vrais combats d’épée, du tir à l’arc, un château entouré de douves, une cabane, des cachots souterrains, etc.

Après deux, trois heures d’émotions et d’amusements, la Ferme Nos Pilifs, située juste en face, accueillera les jeunes aventuriers pour un repos bien mérité à l’estaminet. L’occasion aussi de découvrir les petits animaux de la ferme pédagogique, l’épicerie et la jardinerie de cette entreprise de travail adapté qui a conquis depuis longtemps le cœur de ses visiteurs.

Infos: www.sortilege.be ou 02/370.61.10. Prix maximum: 8,50 EUR. (la consultation préalable du calendrier sur le site est vivement recommandée).

 

Des appartements du Comte
aux jardins “improbables”

@ Domaine de Seneffe

Le Château de Seneffe (Hainaut, à deux pas du Brabant wallon) tient de ces lieux où, le temps d’un souffle, le visiteur est transporté dans l’histoire. Une fois franchies les grandes portes de la demeure, on se chausse de patins pour ne pas endommager les somptueux parquets  (regarder ses pieds sera ici recommandé!). L’univers qui se découvre alors de pièce en pièce est celui des comtes et comtesses du XVIIIe siècle. Salle de billard, chocolatières, cabinet de curiosité avec robes et chemises d’époque, salle à manger: chaque porte ouverte nous amène à pénétrer dans une ambiance particulière faite du faste dans lequel baignaient autrefois les habitants du château. Le grand escalier nous emmène dans la confrontation des époques. Les appartements ont certes conservé le décor d’antan. Mais, dans les vitrines, les bijoux contemporains se sont substitués aux pièces d’orfèvrerie du XVIIIe siècle. De jeunes créateurs y exposent aujourd’hui leurs travaux.

 

En route vers le jardin. “Il s’agit de jardins à la française, où la sauvagerie est reléguée dans des coins reculés du Parc”, commente Bob Verschueren, artiste belge qui, jusqu’à l’automne, a disséminé ça et là dans le parc des œuvres surprenantes, soit une dizaine de montages végétaux hors normes. Leurs noms comme leurs significations sont intrigants: «Fourches topiaires», «la voie des arbres», «la montée des eaux»…

 

Les visiteurs déjà passés dans ces lieux se souviendront peut-être de cette grande corne de branches, posée sur l’île romantique, qui surprend le promeneur par ses borborygmes inquiétants. De «jardins improbables», il est ici résolument question…

Infos: www.chateaudeseneffe.be ou 064/55.69.13. Accès au parc gratuit. Accès au château payant: 5 EUR maximum.

 

Entrer dans les couleurs de Matisse

@ Musée Matisse, le Château-Cambrésis

Petite ville située à 140 kilomètres de Bruxelles dans le département du Nord (France), Cateau-Cambrésis accueille un musée consacré à Matisse. Un musée d’envergure pour une petite cité. En comparaison avec Nice, où le peintre a vécu et où l’on peut découvrir également une partie de son œuvre, Cateau-Cambrésis (sa ville natale) n’a pas à pâlir de ses collections. Si le soleil méditerranéen marque indéniablement la carrière du peintre, c’est le cas également de l’industrie de la dentelle et des étoffes, de même que du passé tisserand de sa région d’origine.

Le musée de Cateau-Cambrésis a été initié par le peintre lui-même en 1952.  Malgré quelques déboires dans les années 80, notamment avec la crise du textile et les slogans du type «des usines, pas de musée!», la conservatrice a poursuivi son petit bonhomme de chemin. Situé dans une ancienne résidence des archevêques de Cambrai, le musée a été complètement rénové en 2002. Il offre aujourd’hui de superbes espaces aux œuvres de l’artiste, traversant ainsi sa vie. Peintures, gouaches, sculptures et dessins côtoient des œuvres moins classiques dans leurs formes: tapisseries, plafonds dessinés, vues sur la décoration de la Chapelle des Pères dominicains à Vence (entièrement conçue par Matisse).

Le musée de Cateau-Cambrésis a également bénéficié d’autres collections (Picasso, Léger, Chagall, Giacometti, mais aussi Auguste Herbin, pionnier de l’abstraction française et natif de la région). Une fois par an, le musée invite un artiste contemporain à concevoir le parcours d’une exposition monographique en lien avec ses collections. Jusqu’en octobre, cet honneur revient à Kees Visser. Parmi ses interventions, on remarque une grand peinture murale réalisée in situ, en écho au vitrail de Matisse intitulé «les abeilles» et conservé à l’école maternelle Matisse de Cateau-Cambrésis. A sa suite, fin octobre, est programmée l’expo «Miro et Tériade, l’aventure Ubu». Encore de belles perspectives.

Infos : www.cg59.fr Tél : 00 33 (0)3/27.84.64.50. Prix maximum : 4,5 EUR.

 

La plage de Bambois fait la part belle à la nature

@ Plage de Bambois

Nous étions entrés dans le jardin de la poésie, après un déambulé sur les caillebotis qui longent le lac, sans trop de bruit pour respecter le calme recommandé dans cette zone. Il a des allures asiatiques, ce jardin… Entrelacs d’eau et de végétation, pont de bois, nénuphars et roseaux. Au bout du chemin, une sorte de temple japonais, ouvert sur un décor soigné et dépouillé. Distraitement, je lis à voix haute un poème de Baudelaire accroché au mur. «Là, tout n’est qu’ordre et beauté - Luxe, calme et volupté…» La lecture terminée, des applaudissements surgissent. Adossé au mur d’en face, un petit bout de chou de six ans a apprécié cette «Invitation au voyage» du poète.

Et le voyage pourra se poursuivre sur le site, car le Lac de Bambois, près de Fosses-la-Ville (Province de Namur) compte plusieurs jardins.

Par exemple, le jardin des savoirs, où le visiteur fera connaissance avec le rôle des plantes, l’apport nutritif de la nature, les anciens métiers en lien avec celle-ci. Ensuite, le jardin de la découverte avec son espace dédié à ceux qui ne savent pas encore lire ou écrire; mais aussi aux plus grands qui y trouveront autant de plaisir: on y sent, touche, actionne des ailes de papillons notamment. Puis, la maison du pêcheur où, de surprises en surprises, on découvre de près les poissons de nos rivières. Les rives du Lac, aussi, où l’on peut se mettre à l’affût de l’avifaune aquatique qui trouve, sur ce site Natura 2000, un lieu protégé pour patauger à l’aise.

De pataugeoires, il en est également question pour les bipèdes que nous sommes. Le Lac de Bambois a soigné un espace «plage» et permet de barboter comme après guerre, lorsque «Bambois plage» appartenait aux hauts lieux touristiques drainant le public du Grand Charleroi. Autrefois laissé à l’abandon, puis victime de déprédations, le site est devenu méconnaissable d’enchantement. Aujourd’hui le respect de la nature s’y combine avec détente et plaisirs.

Infos : http://lacdebambois.be ou asbl IDEF 071/71.43.89. Ouvert de 11h à 18h30 jusqu’au 13 septembre. Prix maximum de 3,20 EUR.

 

Comique, la visite d’un musée
d’art contemporain!

Pour certains, l’art contemporain est réservé aux visites scolaires encadrées et obligées. Ceux-là ne manqueront pas d’être démentis par une petite promenade, cet été, au Grand-Hornu (Hornu, Province de Hainaut). Oui, visiter un musée d’art contemporain peut se révéler léger, ludique et drôle. Cela peut être une activité de vacances sans prise de tête, où l’on se laisse aller à la découverte et à l’étonnement.

@ MAC'S

De prime abord, l’espace réservé au designer Charles Kaisin ressemble à une salle d’exposition classique: vitrines, œuvres, gardien… Mais voilà que sous nos pas, le plancher n’est pas si stable. Les étagères et les objets disposés dans la pièce se mettent à trembler et provoquent quelques cliquetis annonçant la chute. Elle sera fatale à certains d’entre eux. Quel traumatisme pour nos habitudes de visiteur policé! Nous voilà comme un éléphant dans un magasin de porcelaine, engagé par un gardien qui montre l’exemple à nous aventurer à la découverte des œuvres du designer: sacs à main, fauteuils, montre, vaisselle… (jusqu’au 27 septembre).

Dans un autre coin du site, une œuvre des artistes Toni Geirlandt et Carlos Montalvo sera notre terrain de bowling. L’esthétique se fait ludique et l’œuvre se fait jeu (jusqu’au 30 août). Ailleurs encore, une autre expérience, celle que propose Ann Veronica Janssens au travers de son installation lumineuse. Pénétrez dans une salle obscure, laissez-vous séduire par la lumière, apprivoisez l’espace et jouez de vos ombres (jusqu’au 23 août). Parallèlement aux expositions, l’équipe du Grand-Hornu a concocté quelques animations. Une chasse au trésor emmènera les curieux dans les recoins de l’ancien charbonnage, jusque dans la crypte.

 

Infos: www.mac-s.be ou 065/65.21.21. Prix maximum: 6 EUR.

 

 

Mais encore ...

Des “géosites” à visiter

Le Département de géologie du Muséum des Sciences naturelles a publié un guide destiné à inciter le public à visiter des sites trop souvent ignorés des circuits touristiques traditionnels, comme le patrimoine industriel (mines, carrières souterraines, grottes) et de nombreux musées.

Ce guide est téléchargeable sur www.sciencesnaturelles.be ou à commander à sgb@sciencesnaturelles.be


Nos ancêtres les Gaulois et...

les Romains

A une encablure de Liège et à un jet de pierre de la Wallonie, le Musée gallo-romain de Tongres, entièrement rénové et occupant dorénavant la bagatelle de 13.000 mètres-carrés, offre un panorama complet de la vie de l’Homme de Néanderthal et de nos ancêtre du Néolithique jusqu’à la période romaine.

Infos : www.galloromeinsmuseum.be ou 012/67.03.30.


Tous en (haute) mer !

Le premier parc éolien belge off-shore n’en est encore qu’à l’état d’embryon. Et pourtant, ses premiers moulins, gigantesques, produisent déjà de l’électricité à près de 30 kilomètres de la côte. Des excursions en bateau (durée : cinq heures AR) y sont organisées avec commentaires sur la circulation maritime, la vie en mer, etc. Variante : une journée de pêche en mer (de 7 à 17 h), ouverte aussi aux débutants.

Infos : www.franlis.be ou 059/70.62.94.


Lire à l’ombre à Liège

Jusqu’à la fin août, 7 parcs publics accueillent les enfants et leurs familles, à Liège, afin de s’y faire lire des ouvrages par des animatrices spécialisées. En cas de pluie, une solution de repli est prévue vers les bibliothèques communales avoisinantes.

Infos : lp@liege.be ou 04/221.84.52.


Deux citadelles à l’honneur

Chaque week-end du mois d’août, la Citadelle de Namur vit au rythme du Moyen Age, avec la présentation d’animations vivantes autour des techniques de construction, du feu, de la gastronomie ou de la musique. Du 13 au 22 août, le théâtre y prend racine avec les Baladins du Miroir ( www.citadelle.namur.be ). Liège, quant à elle, propose un parcours de chasse au trésor pour les enfants. Munis d’une carte et d’un questions/réponses, ils sont  invités à découvrir 1.000 ans d’histoire de la citadelle.

Infos : 04/237.92.92.


Des sculptures au vert

Jusqu’au 4 octobre, le parc de Jehay (Province de Liège) accueille une douzaine de sculptures d’artistes belges et français sur le thème de la couleur. Contraste garanti entre ces œuvres contemporaines et le patrimoine architectural du château tout proche.

Infos : 085/82.44.00.


Virelles : une roselière très animée

L’Aquascope du lac de Virelles, bordé par la plus grande roselière de Wallonie, est un espace privilégié pour l’observation de la faune et de la flore, grâce (notamment) à ses sentiers intimistes dans la végétation et ses caméras branchées en permanence sur les nids d’oiseaux. Le 23 août, on y célèbre, de surcroît, la fête du miel.

Infos : www.aquascope.be ou 060/21.13.63.


Les chauves-souris, ça décoiffe!

Le temps où les chauves-souris étaient crucifiées sur les portes des granges est révolu. Aujourd’hui, on s’efforce de protéger et de faire connaître ces mammifères volants attendrissants. La nuit européenne des chauves-souris, le 29 août prochain, y contribuera. Au menu : promenades, conférences, projections.

Infos : 081/83.03.34. ou plecotus@natagora.be

 


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