A suivre...
(16 mai 2013)
En Marche chez vous
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© Catherine Daloze |
1.500 numéros !
En Marche franchira prochainement ce cap. L’édition du 4 juillet portera
en effet ce chiffre symbolique. Une belle entrée en matière, à l’aube des vacances d’été,
pour notre journal concocté – quinzaine après quinzaine – pour l’ensemble des membres
des Mutualités chrétiennes francophones. L’équipe d’En Marche désire vous associer à
cette étape de vie.
> Paule découpe chaque quinzaine les articles qui
pourraient lui être utiles à elle ou à l’un de ses
proches auxquels elle distribue volontiers les informations
capitalisées au fil des numéros. Dans
une farde se constitue ainsi sa sélection personnelle,
au fur et à mesure des parutions et au gré
de ses centres d’intérêts. Le reste servira également,
mais sous une autre forme, pour récolter
les pelures de ses légumes.
> Mathilde emprunte régulièrement l’exemplaire
de son voisin. Dans son immeuble bruxellois, la
boîte aux lettres est commune, et le courrier est
réparti sur les marches de l’entrée à l’attention
des habitants. Elle n’est pas – encore – affiliée à la
Mutualité chrétienne, mais les sujets en Une l’ont
interpellée plus d’une fois. Après une petite lecture
à la volée, elle replace le numéro à destination
du gars du rez-de-chaussée.
> Au petit coin, chez
Arnaud, il y a toujours de la
lecture. Le Courrier international y côtoie l’un ou
l’autre quotidien et En Marche. Les temps d’arrêt
obligés aux toilettes s’accompagneront à l’occasion
du feuilletage des magazines, de la lecture
d’un article ou l’autre. Le dispositif est renouvelé
au gré du tri sélectif.
> Stéphanie travaille à la confection du journal.
Elle le compulse dans les moindres détails, le
connaît comme sa poche. Lorsqu’elle s’arrête
pour penser à En Marche, hors des délais serrés
pour boucler les numéros de quinze jours en
quinze jours, une image lui revient du passé: la table
du salon chez sa grand-mère où le En Marche
de l’époque avait sa place.
Et pour vous ?
En Marche en connaît des boîtes aux lettres – électroniques
aussi aujourd’hui. Il en a connu des salons,
des guéridons, des tables de cuisine… depuis
le 15 mai 1948. Jamais, le bimensuel n’a manqué à
l’appel. Et si le conte de J. de la Plume ou les
étrennes des tuberculeux ne font plus l’actualité,
la ligne rédactionnelle adoptée à l’origine peut
s’enorgueillir d’une belle longévité. Deux raisons
avaient amené l’Alliance des Mutualités chrétiennes
à lancer En Marche : “rendre service” et
“créer un esprit de solidarité et d’entraide”. Deux
motivations qui continuent d’orienter votre bimensuel.
De combien de générations les quelque
460.000 lecteurs d’aujourd’hui sont-ils les héritiers?
Depuis 1948, quatre voire cinq générations
ont participé à cette circulation de l’information.
Dans un monde où être moderne, c’est faire le buzz, créer du neuf, activer le mode “fast, speed,
one minute”…, la longévité peut faire office de ringardise.
A feuilleter d’anciens numéros, on observe
l’esprit du temps – elles nous font sourire
les Unes du siècle passé –, et en même temps on
perçoit la cohérence au long cours. N’est-ce pas
ce subtil équilibre qui est garant de la pérennité
du journal, de la réputation qui l’entoure? L’équilibre
est fragile, mais précieux. L’équipe d’En Marche entend le maintenir aujourd’hui encore, à
l’heure où tout s’accélère, où l’urgence pilote le
monde et où le sens, la réflexion tendent à s’effacer
derrière la course à la “com”.
Une invitation en intimes
Trêve de considérations existentielles, place aux
clins d’œil. En Marche vous invite, chers lecteurs, à envoyer vos meilleurs
clichés du journal. En Marche chez vous, En Marche dans un lieu insolite,
En Marche dans votre quotidien de lecteur… A l’image de ce petit nain de jardin
dans le “Fabuleux destin d’Amélie Poulain”, photographié aux quatre coins du
monde, l’équipe d’En Marche vous invite à la faire voyager dans l’univers
méconnu des lecteurs que vous êtes. Au-delà des données chiffrées des
enquêtes de lectorat réalisées régulièrement. Autrement que par les
courriers ou les e-mails que certains d’entre vous – les moins farouches –
nous envoient. A vos appareils photographiques!
// CATHERINE DALOZE
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